Des CV truqués, enjolivés, c’est monnaie courante. Trois sur quatre seraient ainsi trompeurs, et un tiers des candidats postulant à une offre s’attribueraient un faux diplôme. Deux tiers mentent sur la durée de leurs précédents postes, et un sur deux sur leur rémunération actuelle. Or, si certains enjolivements sont parfois tolérés – mais les recruteurs professionnels ne sont pas dupes …